Pourquoi rencontrer un psychologue à Paris 9 ?

Souffrance, sentiment de dépendance, urgence, etc.

Je reçois adultes et enfants en consultation du lundi au samedi :

Les motifs pour venir consulter la première fois sont aussi nombreux que variés, car il n’existe pas de bonne ou de mauvaise raison de l’entreprendre.

Certaines personnes viennent me rencontrer car leur relation de couple est en souffrance, le sentiment de dépendance, d’abandon, de jalousie par exemple « leur gâche la vie. »

Pour d’autres, des symptômes organiques rendent leur existence douloureuse sur le plan physique, c’est le cas des maladies lourdes (cancers, HIV, troubles fonctionnels, etc.) ou bien de symptomatologies plus modérées mais envahissants la vie quotidienne (kyste, eczéma, sensibilité digestive, difficultés de procréation par exemple.)

Toute personne qui souffre dans son corps ou dans ses pensées peut emprunter la voie de la psychothérapie voire de la psychanalyse pour construire une solution qui lui soit propre.

L’intensité de la douleur morale n’a pas de grille de lecture homogène, un petit événement peut avoir de graves répercussions dans la vie d’un individu et inversement.

Ce qui est commun aux personnes qui entament cette démarche concerne l’insupportable de la souffrance car, c’est lorsqu’elles ne peuvent plus se résigner à souffrir que s’enclenche chez elles un désir d’exprimer leur plainte à un psychologue durant une première séance.

Le travail psychothérapeutique vise à dépasser ce temps de la plainte pour construire un désir d’en apprendre sur soi-même, il permet de passer du registre de la demande (de réparation, de reconnaissance, d’amour par exemple) à celui du désir (d’aimer, de réussir sa vie professionnelle, de s’engager auprès des autres par exemple.)


Psychothérapie, psychanalyse : Quelles stratégies adaptatives face aux conduites à risque ? 

Rencontrer un psychologue à Paris spécialisé dans la prise en charge des adultes, adolescents et enfants en souffrance psychique et organique

Le symptôme ou la perte de son pouvoir d'agir. 

 
Nous n'avons pas la main sur tous les évènements qui rythment notre quotidien bien qu'il en existe certains que seule la volonté décide. Dans ces cas, les effets de notre pouvoir d'agir sont la marque subjective de notre existence.

Pourtant, dans cet ensemble d'actions et de pensées qui orientent nos trajectoires dès l'âge des premières décisions à prendre, certaines agissent à notre insu. C'est le cas du choix sexuel, de la rencontre amoureuse, de la forme du lien à nos enfants ou encore à notre propre personne. De cette conjoncture fortuite, émerge alors de multiples stratégies adaptatives pour lesquelles notre responsabilité est engagée.

Lorsque ce pouvoir d'agir défaille, les contours de notre identité se font plus flous. C'est, désormais installé dans un quotidien insatisfaisant que la souffrance révèle la force invisible et secrète à l’œuvre dans l'action du symptôme. Celui qui se fait entendre quand on reconnaît que "c'est trop !", que "continuer comme ça n'est plus possible !"

Des conduites sociales telles que des dépendances tabagique, alcoolique ou sexuelle deviennent des tentatives d'auto-guérison ne servant qu'à masquer de profonds sentiments d'irritabilité, de fatigue chronique ou de stress au travail.
Alors, la relation au conjoint, au parent ou aux amis et collègues s'en trouvent altérée et l'être s'éprouve dans une pauvreté affective, sexuelle ou encore précarité professionnelle.

Et, depuis ces positions extrêmes allant de la procrastination jusqu'à la compulsion d'agir (achats compulsifs, boulimie, conduites sexuelles à risque, etc), une voie pathologique s'ouvre pour tenter de liquider des affects devenus insupportables. 

  • Font partis des conduites à risque par exemple : le besoin impérieux de jouer en ligne, la mise en danger de son corps propre, les troubles sur la voie publique (excès de vitesse, consommation abusive d'alcool ou de substances toxiques, mise en danger de la vie d'autrui, etc.)

 
La souffrance psychique est une force sourde, continue, qui s'annonce dans une présence à soi symptomatique. C'est à dire, dont la conflictualité paraît insurmontable. Pourtant, le conflit psychique a valeur de fondation de la vie inconsciente et il est le moteur de nos vies singulières. Quelle est donc cette fêlure qui envahit le sujet affaiblit sous le poids du symptôme ?

La psychanalyse conçoit le symptôme comme un compromis entre le désir et les défenses inconscientes. Cette discipline étudie la psychopathologie de la vie quotidienne dans laquelle s'exprime en continu la lutte inconsciente contre le désir que chacun d'entre nous avons de s'accomplir en tant que sujet (échecs inconscients, oublis, actes manqués, lapsus, confusion, etc.) 

Les stigmates de cette guerre souterraine s'incarnent parfois même à notre insu dans le déclenchement de pathologies organiques attaquant l'immunité physiologique nécessaire à la bonne santé : 

  • Atteintes de la sphère ORL (allergies, bronchites ou irritations chroniques, aphasie partielle ou totale sans AVC par exemple etc..), 
  • Souffrances installées de l'appareil digestif (atteintes lourdes des organes digestifs, ulcère de l'estomac etc..),
  •  Faiblesse des tissus épidermiques (eczéma, dermatoses diverses, chute massive des cheveux, etc..), 
  • Ou encore, infections chroniques de la sphère uro-génitale (cystites et mycoses vaginales à répétition, dyspareunies, troubles de la fécondité, etc..) 


Toutes ces manifestations organiques constituent une voie d'entrée possible vers la prise en charge psychothérapeutique car, au delà de la souffrance somatique se cache la souffrance d'un être parlant, donc d'un être désirant. Et, comme en atteste la variété des symptômes corporels qui, lorsqu'ils sont parlés en séance, peuvent révéler leur force de signification (trichotillomanie, colopathie, constipation, douleurs diffuses chroniques, paralysie intempestive d'un ou plusieurs membres etc..) l'implication dans le lien de transfert au psychanalyste est la condition pour que les symptômes soient soumis à une interprétation par le patient qui cesse alors de se vivre impuissant et retrouve son pouvoir d'agir. 

Échecs professionnels ou scolaires. 

Précarité sociale & souffrance psychologique :

Comment retrouver un mieux-être au quotidien ?

Rencontrer un psychologue clinicien à Paris en cas d'urgence.

Le vécu de précarité, un sabotage inconscient :


Au sein de la Consultation Publique de Psychanalyse du 9è à Paris, je reçois des personnes de tous âges et de tous bords (salariés, indépendants, chômeurs, étudiants, etc..) Ce qui motive leur venue est un ensemble de symptômes qui freinent leur vie professionnelle, familiale ou intime.

Souvent ces patients s'imaginent que "partir souffler le temps d'un weekend" suffira à apaiser leurs vécus d'angoisse ou encore que "s'ils quittaient tout pour vivre isolé en montagne" ils auraient enfin la paix !

Cela n'y suffit malheureusement jamais et pour cause, le symptôme a une fonction précise dans l'organisation de la vie psychique. C'est même la raison pour laquelle il est si difficile de s'en débarrasser. 

Emprunter la voie d'une psychothérapie ou d'une psychanalyse permet au contraire de faire avec ce que l'on a déjà construit pour soi, de ne pas renier tout ce que l'on a entrepris dans son existence.

S'être engagé dans des études sans être allé au bout de son cursus par exemple revient à saboter son investissement en énergie, temps, argent. Ce coût, cet investissement souvent dénié, est pourtant autant financier que libidinal. Et, les patients et psychanalysants qui me rencontre sont nombreux à regretter leurs choix tant ils en attribuent l'origine à leur entourage et en refusent la charge affective (le désir de réussite de leurs parents, la pression familiale ou encore la contingence par exemple.) 

Pourtant, comment comprendre qu'après des années d'études, l'obtention d'un grade, d'un titre, d'un diplôme ou encore qu'après un temps conséquent passer à s'astreindre à un dur labeur au travail, certains se refusent in fine à en retirer des fruits ? Quelle est cette stratégie inconsciente de sabotage de son désir ?

La psychanalyse freudo-lacanienne nous enseigne par quelles voies l'être se prive d'accéder à sa propre réussite. Quels processus il mettra en œuvre malgré lui pour s'empêcher de vivre dignement de son travail et de faire bénéficier son entourage d'une vie confortable.

La souffrance et les symptômes (rumination mentale, procrastination, échecs professionnels, etc) dérèglent le court de la vie et sabotent durement les projets que l'individu porte pourtant à bras le corps.
 

Ce sabotage est un acte de résistance entre différentes instances intrapsychiques qui ne trouvent pas de terrain d'entente. Il est l'expression du conflit qui fait rage dans l'arène intérieure et qui déstabilise les pensées, le corps, la relation à autrui, les rythmes biologiques etc. 

Dans ce sens, il n'y a pas de motif particulier pour s'engager dans une psychothérapie ou une psychanalyse. Toutes les formes de souffrances sont une voie d'entrée pour investiguer le sens de ses symptômes et tendre vers une vie plus apaisée.

Si vous souhaitez vous engager vers un mieux-être au quotidien, je vous reçois sur rendez-vous du lundi au samedi dans la consultation du 9è à Paris en appelant le 06.87.22.53.40

Dépression et troubles du sommeil chez l’adulte 

Pourquoi engager une psychothérapie à Paris ? 

Parmi les études épidémiologiques de prévalence, il est possible de distinguer l’expression d’une insatisfaction liée au sommeil et les principaux symptômes de l’insomnie :

-       difficulté d’endormissement,
-       réveils nocturnes avec incapacité à se rendormir ou réveil précoce,
-       sommeil non réparateur.

Chez certains patients, un trouble dépressif s’associe au manque de repos continuel provoquant un sentiment de fatigue chronique et de nervosité. Les répercussions sur la vie sociale et la vie de famille par exemple, sont nombreuses avec le sentiment « de n’y être pour personne ». Accaparé par l’activité physiologique de veille qui mobilise toute l’attention, le cercle vicié du surmenage s’installe et se renforce par le manque de sommeil.

En effet, le sommeil est une fonction biologique essentielle : nous ne pouvons pas vivre sans dormir. Il est indispensable à la récupération de nos forces physiques et psychiques, et assure donc une bonne qualité de vie. De nombreuses études ont permis de mettre en évidence les altérations physiologiques, biochimiques, psychologiques et des fonctions cognitives survenant suite à une privation de sommeil.

Lorsqu’elle intervient de manière répétée il est nécessaire d’en retracer le fil en psychothérapie. Depuis quel âge ? À la suite de quels évènements ? Quelles pensées appellent-elles la vigilance accrue à l’état de veille ? Les réveils nocturnes font-ils suite à certaines pensées, rêves, manifestations physiologiques ?

À l’inquiétude et à l’angoisse qui constituent le support de cet état vigile, la prise de toxiques (alcool, tabac, boissons stimulantes, drogue, etc.) peut venir s’ajouter et se compléter. Cette comorbidité fait alors le lit du trouble dépressif, constitué par des idées noires sur lesquelles l’être se refuse de céder par le repos. L’acharnement mis à se refuser au sommeil est une conduite qui peut s’être installée de manière plus ou moins consciente tout au long de la vie. Lorsqu’il intervient malgré soi, malgré sa volonté propre, il est à envisager en tant que formation de la vie inconsciente et mérite toute l’attention du clinicien en consultation.

Le traitement médicamenteux reste une voie possible dans l’urgence lorsqu’il est administré par un médecin de confiance. Pour autant, il ne peut se substituer à la rencontre avec un psychothérapeute car, si le symptôme se répète dans l’existence c’est qu’il possède une fonction dans la dynamique subjective. Il s’avère alors nécessaire d’en examiner la survenue avec précision. Cet examen clinique des causes et des effets psychologiques et physiologiques de l’insomnie est mené durant le travail psychothérapeutique. Et, c’est dans une démarche de partenariat avec le corps médical que le clinicien veille à l’apaisement du symptôme d’insomnie chronique.

Vous souhaitez rencontrer un psychothérapeute spécialisé dans les troubles du sommeil ? Je me tiens disponible pour vous recevoir en consultation en contactant le 06.87.22.53.40